La réintro, le bilan !

11 mai 2007 Par vero

Refaisons un peu le bilan de la réintroduction de l’œuf dans l’alimentation de Nicolas.

Je reprends un peu mes récits et oh surprise, je ne me souvenais plus de la date de la première réintro : Novembre 2005 ! J’ai l’impression que c’était hier !

Donc, novembre 2005, Nicolas goûte un biscuit fourré au chocolat avec du « jaune d’œuf en poudre », puis plus tard une gaufrette.

Le 9 décembre 2005, on teste la brioche, un quart de tranche pour commencer.

Trois jours plus tard, des plaques d’eczéma apparaissent sur le corps de Nicolas et persiste. On décide de faire une pause.

En mai 2006 (il y a un an !), on teste des barquettes à l’abricot avec des « œufs pasteurisés ». Mais l’eczéma revient nous dire que c’est trop tôt…

Juillet 2006, vient le tour des madeleines « aux œufs frais » !

Août 2006, c’est le temps des vacances ! On teste en famille le boudoir aux œufs frais et la « chocolatine » (pain au chocolat pour les non sud-ouestiens) – Quelques jours passent et on ose le gâteau fait maison avec un œuf.

Septembre 2006 : L’expérience suivant son cours et ne nous réservant pas de mauvaise surprise, on retente à la rentrée le même gâteau, cuit moins longtemps ainsi que des pâtes aux œufs frais  !

Octobre 2006, nous augmentons les doses et je prépare notre gâteau test avec sa recette initiale, un gâteau maison avec deux œufs  !

Le temps passe et on fait pause dans les étapes. Nous avons déjà pas mal de choix à proposer à Nicolas. Les biscuits divers défilent, les brioches et madeleines ont réintégrés nos placards. Et nous savourons les raviolis et autres préparations du genre.

Décembre 2006, Nicolas goûte une miette du jaune d’un œuf dur ! On rentera l’expérience avec une rondelle entière, puis un peu de blanc.

Mars 2007, la liste des aliments autorisés gonfle de plus en plus. On rajoute une ligne en testant les quenelles !

Avril 2007, nous profitons de la présence de mes parents pour progresser et nous tentons la mayonnaise industrielle, puis la mayo maison dans les jours qui suivent. Nous passons donc l’étape de l’œuf cru sans encombre !

Mai 2007, Nicolas découvre l’œuf à la coque et son corps l’accepte sans problème.